Biard Marcel

Nous avons appris le décès de Marcel BIARD. Il nous a quittés le 3 juillet 2016 dans sa 90e année.

Les obsèques seront célébrées le vendredi 8 juillet à 14 h 30 en l'église Saint-Etienne, à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine), 

Il a été journaliste à La Croix et à Notre Temps. Il a été secrétaire général de La Croix de 1957 à 1981. Il a ensuite dirigé la rédaction du mensuel Notre Temps jusqu'en 1993.


Ils nous ont écrit :


Annie Poujol :

" Triste d'apprendre le décès de Marcel Biard, avec lequel j'ai eu plaisir à travailler à Notre Temps pendant plusieurs années.

Une période de vie professionnelle qui tout-à-coup me revient en mémoire. A la fois lointaine et proche.

Mes pensées vont à Josiane, son épouse. "


Jean-Pierre Malval :

" Très ému de la disparition de Marcel. J'ai et j'aurai souvent une pensée d'affection pour lui. "


Hervé Schaefer :

" MARCEL BIARD

Impassible, toujours calme, c'était un sage, Marcel Biard avait eu une longue carrière de journaliste. Entré à La Croix quand il était encore tout jeune, il en fut le secrétaire général de 1957 à 1981 avant de prendre la direction de la rédaction de Notre temps puis la direction du département Senior de Bayard Presse.

A l'âge de la retraite, et compte tenu de son expérience, il avait rejoint le Mouvement Chrétien des Retraités, d'abord au comité de rédaction de Nouvel essor, puis rédacteur en chef du magazine du mouvement de 1999 à 2001.

Il était le conseiller en communication - on disait même son « éminence grise » - d'Alfred Mortel, président du MCR. Il prit enfin sa deuxième retraite en 2008 après les deuxièmes Journées du monde de la retraite, en 2008 à Lourdes.

Journaliste au Pèlerin, puis à La Croix, j'ai bien connu Marcel. J'avais contribué, à sa demande, à l'informatisation des titres du département Senior de Bayard. Le croisant à une réunion amicale et officielle – une remise de la Légion d'honneur – début 2002 il m'avait dit :

La retraite c'est pour bientôt ?

Pour le mois prochain...

J'ai un travail pour toi...

Il s'agissait de mettre en place le site internet du mouvement, compte tenu de ma double casquette de journaliste et « d'informaticien ». Ce qui fut fait quelques mois plus tard.

Et je n'ai jamais regretté d'avoir accepté la proposition de Marcel avec qui j'avais une relation amicale et d'avoir ainsi découvert la richesse du MCR."